Quantcast
Channel: CELEBRITES – Xalima.com
Viewing all 2716 articles
Browse latest View live

Sanekh face à Iran Ndao: « Maintenant, les gens font l’amour dans la rue… »

$
0
0

Sanekh face à Iran Ndao: « Maintenant, les gens font l’amour dans la rue… »


Affiches vandalisées – Baba Hamdy dépité, surpris et consterné

$
0
0

XALIMA NEWS – L’artiste, compositeur, arrangeur dit, en effet, avoir constaté que beaucoup de ses affiches consacrées à la promotion de son album «Péne mélodies» ont été vandalisées. «Des affiches que je n’ai même pas encore fini de payer», se désole-t-il dans un communiqué, parlant de «pratique injustifiable et à la limite vilaine. Il a fallu tant d’efforts et beaucoup de moyens financiers pour en arriver à ce stade». Rappelant que cet album est sorti pour rendre hommage à un monument de la musique sunugaalienne, Baba Hamdy note que c’est juste pour avoir un résultat à la dimension de l’artiste Omar Pène qu’il n’a ménagé aucun effort pour assurer une bonne promotion.

«Cependant, les auteurs de cet acte  inqualifiable ne peuvent pas nous empêcher de poursuivre notre voie et notre engagement pour l’émergence d’une musique de qualité. Ces pratiques d’un autre âge ne peuvent nullement nous ébranler et nous ne comptons pas laisser passer une telle forfaiture sans réagir», dit-il. Et d’avertir qu’ils vont «prendre toutes les dispositions idoines pour que de pareils actes de vandalisme ne se reproduisent plus». Le chanteur, très proche de Viviane par les temps qui courent, d’annoncer aussi qu’ils vont «continuer le combat et poser encore des actes novateurs et porteurs. Car c’est seulement sur ce terrain que nous devons et voulons nous  battre».

Le Populaire

Ngonal du 8 juillet 2015 – Sanekh et cie reçoivent Oustaz Iran Ndao

$
0
0

Ngonal du 8 juillet 2015 – Sanekh et cie reçoivent Oustaz Iran Ndao

Macky Sall envoie une délégation chez Pacotille

$
0
0

Le domicile du rappeur Pacotille rappelé à Dieu le week-end dernier ne désemplit pas. Après le ballet des libéraux, ce sont les apéristes qui se bousculent à la maison mortuaire pour présenter leurs condoléances.
Hier, le Chef de l’Etat, selon « l’As », y a envoyé une délégation composée d’Aminata Tall, Zahra Iyanne Thiam, Ndèye Bineta Gassama, Awa Guèye entre autres pour présenter ses condoléances à la famille éplorée. En guise de « diaxal » une grosse enveloppe a été remise. La même délégation s’est rendue chez Madièye M’bodj qui a perdu sa mère, pour lui présenter ses condoléances.
DAKARACTU

Suite à son mariage avec Pape Diop, Maman Dièye quitte Walf

$
0
0

C’est la présentatrice de « Petit Déj » elle-même qui a donné l’information ce matin. Maman Dièye devenue Madame Pape Diop la semaine dernière, quitte le groupe Walfadjri.
Les larmes aux yeux, Maman Dièye a remercié tout le personnel du groupe Walfadjri en commençant par le président Directeur général Sidy Lamine Niasse à l’endroit duquel elle n’a pas tari d’éloges. Puis elle a remercié tous ceux qui l’ont accueillie à bras ouverts dans le groupe Walfadjri.
Après Matel, Maman Dièye quitte Walf suite à son mariage. Ses collègues de l’émission matinale lui ont témoigné leur plaisir d’avoir travaillé avec elle et l’ont encouragée avant de prier pour qu’elle ait une réussite totale dans sa nouvelle vie…

dakaractu.com

Condoléances : Youssou Ndour chez Pacotille

$
0
0

Le roi du mbalakh, Youssou Ndour, a rendu visite aux proches de l’artiste Cheikh Sidaty Fall alias Pacotille décédé le week-end dernier. Le chanteur et ministre conseiller du Président Macky Sall a présenté ses condoléances à la famille à Yeumbeul Sud. Youssou Ndour a rappelé qu’il a, à tous points de vue, été marqué par Pacotille avec qui il a eu à travailler sur le plan musical, rapporte L’Observateur.

leral

Journal Rappé (S03, ép.09) : « Hommage à Pacotille »

Le Ndogou spécial de Modou Lo avec son ami Desagana


Affaire Thione Seck: Les avocats réclament les 5 millions de Kiné Diouf

$
0
0

Environ 75 millions F Cfa d’argent en bonnes coupures ont été saisis à la villa de Thione Seck en même temps que des faux billets lors de son arrestation par les gendarmes de la Section de recherches (Sr). Cependant, une partie de cette somme (5 millions F Cfa) appartiendrait à Kiné Diouf, l’épouse du chanteur. Selon des sources dignes de foi, les avocats de Thione Seck ont introduit une requête pour demander au juge la restitution des 5 millions F Cfa.

Après l’audition de leur client dans le fond du dossier, les avocats de Thione Ballago Seck viennent d’introduire une requête devant le juge d’instruction du deuxième cabinet. Selon des sources dignes de foi, il s’agit d’une demande aux fins de restitution. Mes Ousmane Sèye, Abdou Dialy Kane et Cie réclament au juge la restitution de 5 millions F Cfa sur l’argent propre qui a été saisi et qui s’élève environ à 75 millions F Cfa. À en croire les conseils du leader du «Raam Daan», les 5 millions de francs réclamés appartiennent à son épouse Kiné Diouf. Lorsqu’ils ont fait la perquisition chez le chanteur, les gendarmes ont mis la main sur des coupures de faux billets en dollars et en euros. Mais, de l’argent propre aussi a été saisi. Selon les avocats, les 5 millions de cet argent n’appartiennent pas à Thione Seck, mais plutôt à son épouse.

Cette demande de restitution survient au lendemain du dépôt des lettres de désistement devant la chambre d’accusation. En effet, dernièrement, les conseils du père de Wally Ballago Seck ont renoncé d’abord à leur recours sur l’ordonnance de refus du juge d’instruction concernant la demande d’expertise médicale, ensuite à l’appel s’agissant de l’annulation de la procédure. Seulement, concernant la demande aux fins d’annulation, les conseils de Thione Seck se sont momentanément désistés, mais ils comptent revenir à la charge.

Inculpé le 2 juin dernier pour association de malfaiteurs, altération de signes monétaires ayant cours légal dans un pays étranger, tentative d’escroquerie… Thione Seck a clamé son innocence devant le juge d’instruction du deuxième cabinet. Il a juré qu’il n’a jamais confectionné de faux billets et crie au complot et au maraboutage. Il soutient que lorsqu’il était avec ses présumés acolytes, il n’était pas maître de ses actes. Comme Thione Seck, Alaye Djitey a aussi été entendu par le juge. Quant à Abu Sharifu Sakho, il est toujours en fuite.

lasquotidien

(Insolite) Maria du groupe SAFARI « Sidy Lamine NIASS est le président de l’assemblée nationale »

Emission Kiiraay passage de Salam Diallo du 11 Juillet 2015

Deguene Chimere Va Mieux !

$
0
0

Les fans et les admirateurs de la célèbre animatrice de la TFM, qui sont sevrés depuis quelques temps vont, peut-être, avoir le sourire sous peu. Celle dont le Dakar-Rumeurs dit qu’elle aurait pété les plombs va, paraît-il, beaucoup mieux.

Déguène Chimère Babou traverse depuis quelque temps des durs moments. Outre le fait que Monsieur son mari lui a trouvé une ‘’petite sœur’’ avec qui elle partage, maintenant, son doux avocat, Déguène est actuellement pensionnaire d’une célèbre clinique située en plein centre ville. Monsieur son mari avait pourtant juré, par tous les Dieux et en direct à la télé, que si Déguène Chimère venait à disparaître avant lui, il la suivrait directement dans la tombe. Maintient-il encore cette ‘’profession de foi’’ ou était –ce, simplement, une déclaration de politicien ( ah oui, il en est un ! ) ? ‘’Yalla rek, ak mom, nio ham ‘’ ! Tout ce que l’on avait remarqué, c’est qu’il avait l’air très sérieux quand il se permettait cette tirade.

Mais, entre temps, comme ‘’Aduna dafa goude tank’’, les choses ont dû peut être changé et qui ont fait que Monsieur le Mari a décidé de piétiner son serment. Car on verrait mal qu’il aille suivre dans l’au-delà ( que Dieu nous en garde ! ) sa première femme au détriment de la deuxième.

Les supputations vont bon train et qui disent que, très déçue, l’animatrice de l’émission ‘’Wareef’’ de la Tfm se serait réfugiée dans la prière et le wird, ce qui a fini par lui tourner la tête. Elle est devenue, selon certaines indiscrétions, difficilement maîtrisable.

Pauvre Déguène, elle ne mérite pas ça !

Espérons que le bon Dieu lui ramènera, sous peu, la paix et la sérénité.

(© Gawlo.net)

En privé avec Joe Gaï Ramaka (Cinéaste) –‘’La société sénégalaise est devenue très intolérante’’

$
0
0

Installé à Gorée, le réalisateur Joe Gaï Ramaka y a initié un festival du cinéma qui dure toute l’année. Différentes séances de projections se sont tenues sur l’île mémoire depuis le mois de  mai dernier, dans le cadre de ce projet intitulé ‘’Gorée cinéma’’. Trouvé relax dans sa maison à Gorée,  admirant la beauté de la mer du haut de son balcon, Joe Gaï Ramaka est revenu sur la naissance de ce projet qui le tient à cœur. Pour ensuite parler de la nécessité d’adapter le cinéma au numérique.

Comment est né le festival Gorée cinéma ?

Le projet, c’est une rencontre entre moi-même qui suis dans le cinéma, Djiby entre autres jeunes qui s’intéressent à la culture et tout un groupe de jeunes qui s’intéressent au cinéma. Avec la mairie de Gorée, on a essayé de faire quelque chose ensemble. C’est vrai que Gorée est un espace qui attire. Djiby et ses amis étaient venus ici avant qu’on se rencontre pour le festival. Moi-même j’ai une histoire singulière avec Gorée. L’île a été depuis longtemps un espace d’écriture et de tournage. J’ai réalisé des films ici. Gorée, ce n’est pas Saint-Louis mais c’est aussi Saint-Louis pour un Saint-Louisien. vivre à Gorée, ce n’est pas vivre en terre inconnue. Pendant de longues années, j’étais aux USA, à New-Orléans ; revenir m’installer à Gorée, c’est aussi maintenir un lien entre la Louisiane et Gorée. Il y a une sorte de continuité dans les espaces dans lesquels je fonctionne. Cela explique mon désir de m’installer ici. Mais cette île ne fait pas rêver que moi. C’est pourquoi quand on a parlé du projet dans le groupe, tout le monde a tout de suite flashé.

Un festival sur une année, ce n’est pas assez lourd ?

On fait du mensuel streaming (ndlr projection mensuelle). On essaie ainsi de donner un autre tempo, un autre rythme aux choses. Cela permet de rendre les choses presque ordinaires. C’est moins spectaculaire. Quand on dit un festival, une fois par an pendant 2 ou 3 jours au cours desquels toutes les choses sont en train de se passer, là, c’est plus calme. Tous les premiers samedis du mois, on se retrouve. On parle cinéma. On regarde des films. Donc, cela fait moins lourd. C’est plus simple et plus convivial.

Comment se font les sélections ?

Il y a deux aspects. Il y a un dispositif mis en place où les gens peuvent nous envoyer des choses. Des réalisateurs peuvent nous y envoyer soit un lien nous permettant de voir le film, soit le film même en téléchargement. Il est possible aussi que quelqu’un voie un film qu’il pense être bon et nous le propose en nous envoyant un lien à partir duquel on peut le visionner. L’autre aspect, c’est que nous-mêmes nous regardons l’actualité, nous regardons des films. Cela fait un autre canal par lequel nous pouvons choisir les films en sachant qu’on n’est pas une institution mais des cinéphiles et les choses se passent simplement. C’est ainsi qu’on arrive encore à montrer des films qui intéressent les gens.

Donc Gorée cinéma n’est pas un festival de films africains exclusivement?

C’est un festival de films d’abord mais on a en ligne de mire une mise en valeur de l’espace panafricain de différentes manières. Soit à travers des films qu’on pourrait passer, soit à travers des espaces qui ont été traités mais pas forcément par des cinéastes africains. C’est l’exemple du prochain film qu’on va montrer. Il s’appelle ‘’Rebelle’’. Le réalisateur est un Canadien d’origine vietnamienne mais le film se passe au Congo qui est un espace qui nous parle. Ce qu’on met en avant, c’est le cinéma même si on a un centre d’intérêt soutenu par rapport au cinéma panafricain et aux cinéastes sénégalais. On essaie de combiner les différents aspects. On a commencé avec un cinéaste marocain et lors de la dernière séance, on a montré deux films d’une réalisatrice sénégalaise et d’un réalisateur sénégalais.

 Pouvez-vous nous faire un bref bilan de ce qui a été fait jusque-là ?

Le premier film passé, c’est ‘’Fièvres’’ (ndlr réalisé par Hicham Ayouch, étalon d’or 2015). La force de ce film, c’est que partout où il est montré, il parle. Parce qu’il traite d’un problème auquel tout le monde est confronté : ‘’Que faire de son enfant de 13-14 ans ? Que faire de son père ou de sa mère quand on a 13-14 ans ?’’. L’autre film qu’on a montré, c’est ‘’Le cercle des noyés’’. C’était assez dramatique de se rendre compte qu’on est au Sénégal et que juste à côté, en Mauritanie, il y a encore des personnes qui vivent en situation d’esclavage. Pire encore, ce sont nos parents. Il y a eu ‘’Dakar- Bel air’’, un film d’un jeune Goréen. Et quand on voit ce film, on se dit : ce n’est pas possible qu’on ait ça au Sénégal. Parce que les choses ont changé mine de rien. En 10 – 15 ans, la société est devenue tellement intolérante, obtue dans ce qu’elle croit et non ouverte.

Quand je vois certaines scènes, je me dis : non ce n’est pas possible. On a oublié que les choses pouvaient se faire autrement au Sénégal. On a l’impression que le pays a toujours fonctionné tel qu’on le voit fonctionner aujourd’hui alors que ce n’est pas ça. Quand on dit que le Sénégal est une terre de teranga, c’est parce qu’il a d’abord été une terre de très grande ouverture et de tolérance. C’est fou comment les choses changent vite. Prenons le cas de Saint-Louis : il n’y a pas un seul vieux qui s’appellerait par exemple Mouhamadou et qui n’aurait pas comme second prénom Benjamin. Les gens étaient soit de famille catholique soit musulmane. Mais dans tous les groupes, les jeunes musulmans avaient des prénoms chrétiens en plus de ceux musulmans et vice-versa. Quand on voit ce film qui rentre à Bel Air et qu’on voit des noms comme ‘’Lamine Antoine Diop’’, cela nous renvoie aux vrais fondements du Sénégal que sont la tolérance et la fraternité. C’est cela le vrai Sénégal. Il est important de regarder derrière soi quand, là où l’on va, ne paraît plus clair.

Cette intolérance des Sénégalais, vous en avez pris conscience après le tollé consécutif à l’un des passages de votre film ‘’Karmen Geï’’ ?

Non, cela existe en dehors de ça. Si on essaie de savoir quand est-ce que les choses ont commencé à bouger, ça va être un peu difficile parce que, à quel moment on s’est retrouvé aussi intolérant qu’on l’est aujourd’hui, c’est difficile de le dire. Peut-être qu’il y a eu des signes mais c’est un phénomène qui est aujourd’hui tellement massif. 10 – 15 ans paraissent si peu et en même temps beaucoup. Regardons par exemple ce qui se passe au niveau de l’université. Il y a 10 – 15 ans, il y avait encore les franchises universitaires. Cela a évolué entre-temps. On avait de grands professeurs comme Babacar Sine qui était un brillant professeur de philosophie. Les classes qu’il faisait, on ne peut pas s’imaginer les refaire aujourd’hui. On avait une jeunesse dans une société qui voulait changer le monde. Aujourd’hui, l’aspiration des jeunes de la tranche d’âge  14 – 15 ans n’est pas de changer le monde ou de faire la révolution.

Ces enfants veulent une carrière, réussir et s’occuper de leurs parents. Tous ont des projets individuels. Il faut penser à changer collectivement la société, ce qui n’est pas un idéal pour les jeunes Sénégalais. Encore que ce problème ne se pose pas seulement au Sénégal mais dans beaucoup d’autres pays. Pourtant le monde est en danger pas seulement du fait des politiques, de l’intolérance et de l’intégrisme mais du fait même de son existence primaire, naturelle, à savoir l’environnement. Des films comme ‘’Dakar Bel Air’’ nous montrent des modèles comme David Diop ou encore le film sur Yandé Codou Sène, lequel nous propose un modèle de générosité et de conviction. Il y a aussi ‘’La brèche’’. Il n’y a pas un seul jour qui passe et au cours duquel je ne pense pas à la brèche parce que non seulement on a perdu un bout du territoire national, mais on peut perdre toute la Langue de Barbarie elle-même. Et si on perd la Langue de Barbarie, on peut perdre Saint-Louis même. Comment une seule personne, fût-elle  président de la République et cela est encore relatif, peut se lever et dire : je vais trouer ici. C’est grave et c’est vraiment extraordinaire. C’est bien qu’on ait montré ‘’La brèche’’ à Gorée cinéma, mais ce serait aussi bien de le montrer à la télévision nationale.

On est à l’ère du numérique. Les cinéastes africains sont-ils prêts ?

Au Sénégal, qu’appelle-t-on le passage au numérique ? Il y a la captation de l’image. On capte sur pellicule ou numériquement. Ça, c’est un aspect et il est encore possible de faire les deux. Il y a la phase de la production et du montage. C’est une histoire de coûts. Est-ce que ça revient moins cher de procéder comme ça ou d’une autre manière ? Ensuite, il y a les histoires de diffusion. Il est vrai qu’aujourd’hui, la diffusion pour l’essentiel se fait en numérique. Vous savez, on peut être ici à Dakar et en quelques cliques organiser la projection d’un film dans une salle aux USA. Ce sont des évolutions qui vont venir et il faudra faire avec. Maintenant pour l’Afrique, qu’est-ce qui est bien ? On a encore des films de 35 mm. Le Grand-théâtre est équipé en 35 mm tout neuf. Ce serait absurde de dire, parce qu’on diffuse maintenant en numérique, on ne va pas utiliser le matériel. Il y a des films en pellicule, il faut les utiliser. Il faut aussi mettre à côté un ‘’blu-ray’’ qui puisse lire un HD puisque de plus en plus de films se font en HD.

Est-ce que le cinéma est suffisamment financé au Sénégal ?

Je pense que si l’Etat réussit à mettre chaque année un milliard sur la production, il y a de quoi relancer cette dernière. Mais il faudrait que l’Etat mette également chaque année un milliard sur la distribution pour que la production ait un sens. Il faudrait avant cela que l’Etat dont c’est la fonction fasse respecter aux télévisions le cahier des charges. Dans tous les pays du monde, là on ne va pas réinventer la roue, la télévision participe au financement du cinéma. Non pas parce qu’elle est gentille mais parce qu’elle est la première à  en tirer profit. Avec le passage au numérique, il suffit que l’Etat fasse respecter un cahier des charges à toute personne ayant une télévision en les obligeant à acheter des films et à participer à la production de films. Ainsi, le milliard qu’il donne chaque année progressivement, il n’aura plus à le faire. Sur cette question, il faudrait que la télévision nationale publique donne l’exemple. C’est cela la fonction d’un organe d’Etat. Il faut six mois pour sortir un film et on ne sort pas que des fictions. Il y a encore un déficit de conscience des autorités dans le rôle que la culture doit jouer dans le développement du pays. Pourtant, elles sont toutes pressées de te citer Senghor : ‘’La culture est au début et à la fin de toute chose.’’ Mais concrètement, cela veut dire quoi au quotidien. J’ai lu beaucoup de textes sur le Sénégal émergent mais j’y vois très  peu de culture. Ce ne sont pas les milliards à eux seuls qui vont changer les choses. Je ne pense pas que ce régime actuel ait, en chiffres, aligné plus de milliards que l’ancien régime.

 Comment voyez-vous l’évolution du cinéma sénégalais ?

Disons que c’est difficile de trancher comme ça les choses, de prendre juste le cinéma. Je ne pense pas que l’évolution du cinéma seule puisse nous mettre sur la bonne voie si demain il y a d’autres choses qui ne marchent pas. Il y a la question de l’éducation et ce qu’il en est. J’ai rencontré un jour un ami directeur d’école. Il avait la mine triste. Je lui ai demandé ce qui se passait et il m’a dit que dans son école, tous les élèves avaient réussi à l’entrée en 6ème. J’étais étonné ; il devait être content et non triste. Il m’a expliqué que lui savait que ces gosses n’avaient pas le niveau. Ce sont des classes de Cm² qui ne faisaient pas 5 de moyenne. Cela montre l’Etat du pays. Quand j’entends Awa Marie Coll Seck dire que son ambition est de soigner les Sénégalais, je me dis qu’elle gagnerait plus facilement son pari dans une société instruite.

EnQuête

Quand Fatou Tambedou, Mme La Ministre, Repond Au President De Son Parti, Macky Sall

$
0
0

APR, un parti politique très spécial !
Selon le journal L’AS de ce lundi, le président de l’APR, Macky Sall, aurait « littéralement savonné » Fatou Tambédou, ministre délégué chargé des banlieues (en bisbilles contre Mme Awa Niang, deuxième questeur à l’Assemblée), lors d’une audience avec les femmes de son parti au Palais.
Devinez la réponse de Mme la ministre :
« Awa Niang a voulu m’humilier chez moi. Je vais lui montrer de quel bois je me chauffe. Ici, il y a un siège et c’est moi qui suis assise dessus ».
Et L’AS de nous dire que le président Sall l’aurait rappelé à l’ordre, avant de lui demander de présenter des excuses à Awa Niang.

www.vo-news.com

Bouba Ndour sur l’accusation d’escroquerie de Lamine Diatta : « Je leur ai vendu la voiture il y a un an, ce n’est donc pas mon problème »

$
0
0

Bouba Ndour fait face à une accusation d’escroquerie de la part de Lamine Diatta à propos d’une voiture d’une valeur de 14 millions de FCfa. Très surpris par l’annonce de la plainte de l’international de football sénégalais qui l’a menacé de porter presse, le producteur de musique, qui semble s’en moquer, lui suggère d’aller sur Cnn si cela lui chante car il n’a rien à se reprocher dans cette affaire.
Bouba Ndour, donnant sa version des faits, indique qu’il y a un an, une de ses connaissances lui a demandé de lui vendre sa voiture qu’il avait garé au niveau de son bureau. Mais il lui avait rétorqué que le véhicule n’était pas à vendre. Mais, devant l’insistance du gars et le conseil de ses amis qui lui ont suggéré de vendre puisqu’il n’utilisait pas beaucoup la voiture, il a cédé. C’est ainsi qu’après quelques conciliabules à propos du prix, Bouba Ndour lui a demandé s’il achetait la voiture pour son propre compte. C’est là que le gars, qui se nomme Alpha, lui a dit que c’était Lamine Diatta qui voulait la voiture. Les deux se sont rendus donc à son bureau pour finaliser la transaction. « C’était l’année dernière et nous sommes tombés d’accord sur le prix. Je lui ai dit de prendre la voiture pour l’essayer et je la lui ai laissé pendant deux jours. Il est revenu par la suite me dire que c’est bon. Je lui ai fait un acte de vente et il m’a dit qu’il va en France, qu’à son retour, il va me payer et je l’ai mis en rapport avec quelqu’un pour qu’il me récupère mon argent. Pendant tout le temps qu’il était en France, la voiture était avec son ami », a-t-il révélé. Le sieur Ndour de relever qu’au retour de Lamine Diatta de Paris, le même gars est venu solliciter une aide de sa part. « Il est venu me dire qu’il veut changer la couleur de la voiture qui était bleue, je l’ai mis en rapport avec mon peintre et il a peint la voiture en blanc. Et je vous dis que cette voiture, il n’y a pas un jour où je ne la croise dans Dakar. Et c’est Alpha qui est toujours à bord, je le taquinais même en lui disant ‘yangui noce' », déballe-t-il. Au retour donc du footballeur, Alpha l’a contacté plusieurs fois avec insistance pour lui dire que le véhicule avait un problème. « Je lui ai rétorqué que j’ai acheté la voiture en occasion aux Etats-Unis et que je ne l’ai jamais amené chez un mécanicien. Je lui ai fait savoir que je leur ai vendu la voiture il y a un an, que ce n’était donc pas mon problème. Car, si tu achètes une voiture d’occasion, tu roules avec pendant un an, s’il y a une panne, c’est à toi de la réparer », tonne-t-il avant d’ajouter : « C’est par la suite que Lamine m’a dit qu’il va aller dans la presse. Et je lui ai dit d’aller sur Cnn s’il veut. Car, je ne le comprends pas. Si je lui ai causé du tort, mais pourquoi il ne va pas en justice », s’interroge-t-il signalant que la voiture qu’il a vendu au footballeur vaut plus que 14 millions car il pouvait la vendre à 20 millions FCfa.

leral


Bouba Ndour s’explique sur l’accusation d’escroquerie de Lamine Diatta

$
0
0

Bouba Ndour fait face à une accusation d’escroquerie de la part de Lamine Diatta à propos d’une voiture d’une valeur de 14 millions de FCfa. Très surpris par l’annonce de la plainte de l’international de football sénégalais qui l’a menacé de porter presse, le producteur de musique, qui semble s’en moquer, lui suggère d’aller sur Cnn si cela lui chante car il n’a rien à se reprocher dans cette affaire.
Bouba Ndour, donnant sa version des faits, indique qu’il y a un an, une de ses connaissances lui a demandé de lui vendre sa voiture qu’il avait garé au niveau de son bureau. Mais il lui avait rétorqué que le véhicule n’était pas à vendre. Mais, devant l’insistance du gars et le conseil de ses amis qui lui ont suggéré de vendre puisqu’il n’utilisait pas beaucoup la voiture, il a cédé. C’est ainsi qu’après quelques conciliabules à propos du prix, Bouba Ndour lui a demandé s’il achetait la voiture pour son propre compte. C’est là que le gars, qui se nomme Alpha, lui a dit que c’était Lamine Diatta qui voulait la voiture. Les deux se sont rendus donc à son bureau pour finaliser la transaction.
« C’était l’année dernière et nous sommes tombés d’accord sur le prix. Je lui ai dit de prendre la voiture pour l’essayer et je la lui ai laissé pendant deux jours. Il est revenu par la suite me dire que c’est bon. Je lui ai fait un acte de vente et il m’a dit qu’il va en France, qu’à son retour, il va me payer et je l’ai mis en rapport avec quelqu’un pour qu’il me récupère mon argent. Pendant tout le temps qu’il était en France, la voiture était avec son ami », a-t-il révélé. Le sieur Ndour de relever qu’au retour de Lamine Diatta de Paris, le même gars est venu solliciter une aide de sa part. « Il est venu me dire qu’il veut changer la couleur de la voiture qui était bleue, je l’ai mis en rapport avec mon peintre et il a peint la voiture en blanc. Et je vous dis que cette voiture, il n’y a pas un jour où je ne la croise dans Dakar. Et c’est Alpha qui est toujours à bord, je le taquinais même en lui disant ‘yangui noce’ », déballe-t-il. Au retour donc du footballeur, Alpha l’a contacté plusieurs fois avec insistance pour lui dire que le véhicule avait un problème.
« Je lui ai rétorqué que j’ai acheté la voiture en occasion aux Etats-Unis et que je ne l’ai jamais amené chez un mécanicien. Je lui ai fait savoir que je leur ai vendu la voiture il y a un an, que ce n’était donc pas mon problème. Car, si tu achètes une voiture d’occasion, tu roules avec pendant un an, s’il y a une panne, c’est à toi de la réparer », tonne-t-il avant d’ajouter : « C’est par la suite que Lamine m’a dit qu’il va aller dans la presse. Et je lui ai dit d’aller sur Cnn s’il veut. Car, je ne le comprends pas. Si je lui ai causé du tort, mais pourquoi il ne va pas en justice », s’interroge-t-il signalant que la voiture qu’il a vendu au footballeur vaut plus que 14 millions car il pouvait la vendre à 20 millions FCfa.
Senepeople

Fatou Tambedou à bord d’un taxi pour assister au conseil des ministres…

$
0
0

A bord d’un taxi pour assister à la réunion hebdomadaire du conseil des Ministres. Ceci est la part des Banlieues dans le gouvernement.

A bord d'un taxi pour assister à la réunion hebdomadaire du conseil des Ministres. Ceci est la part des Banlieues dans le gouvernement.

Posted by Fatou Tambédou on Tuesday, July 14, 2015

Lu sur la page facebook du ministre Fatou Tambedou

“LE POINT” avec seydina seck

$
0
0

“LE POINT” avec seydina seck, chroniqueur sur xalima

Le Ndogou spécial de Modou Lo avec son ami Desagana

Regardez le dernier clip de Pacotille ‘ ya salam ‘

Viewing all 2716 articles
Browse latest View live